| jeudi, octobre 20, 2005 |
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J'AI MANGE MA PEINE
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J’ai mangé puis aimé mais ce n’est sans doute pas facile d’ouvrir la porte.
Tant d’espoir et rougir avant qu’il ne soit trop tard et demander.
Tant et tant de fois pourtant, sans concessions, peu de temps avant que la première neige ne tombe sur le ventre des ursulines, disposées en cercle tout autour de chaudes larmes de sang, qui leur enlevait toute envie de voir surgir du fond de leur gorge, une façon de voir.
Ce n’est pas la fin, ce n’est qu’une triste parodie comparé à ma peine. |
posted by Zora & Captainhook @ 11:04 AM  |
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