
Je lis sur ses lèvres et je ne comprends pas. Ce qu’il a trouvé de mieux : le rapport entre l’imagination et la mort. Le cours des choses est tel qu’il ne pourra plus rien digérer. On dirait presque que c’est histoire de ne pas rater la chute. C’est souvent trop difficile de savoir si on a le droit de mourir ou alors de nourrir, mais nourrir quoi ? Ailleurs, c’est là qu’on va toujours quand on aime. Hélas, l’apnée ne suffira pas à défaire les nœuds entre mes os. La chaleur d’un épais nuage de fumée. Mais peu importe, me direz-vous, ce ne sera jamais que l’aveu d’une odeur indélébile. |