
L’esprit ailleurs, me demandant si un fluide coule et s’écoule le long de ta nuque, de ton dos. Trouver ce petit bout de peau qui ne demande qu’à être mangé, accompagné de tant de souffrance. Etranglé par amour mais pourtant faire silence. Le début de cinq jours de peine mais aussi de plaisir, déclinant un à un tous les petits désirs surgissant du fond d’un puits rempli d’humilité. Regarde-le et n’oublie pas de cracher sur le coin de table qu’il t’avait promis pour sauver la face nord de tes fatigues les plus inutiles. |
à écriture automatique,
lecture automatique.
j'en pleure.